La protection de la haute mer contre les actes de piraterie par le droit international

Godefroy MOYEN, Kefrène Egron GOMA

Résumé


La liberté de navigation dans les espaces
maritimes et océaniques, cher au juriste
hollandais Grotius et défendu dans son ouvrage
intitulé mare liberum, contribue sans nul doute
au développement des échanges internationaux
par voie maritime. La navigation maritime
internationale, source de l’enrichissement des
nations qui l’entreprennent, est confrontée
depuis ses origines à plusieurs formes
d’insécurité notamment celle émanant des
aventuriers de mer à la recherche d’une fortune,
c’est le cas des pirates. Le droit international de
la mer, à côté des droits nationaux, ne reste pas
indifférent face au phénomène de la piraterie
maritime. En effet, les dispositions relatives à la
piraterie maritime de la Convention des
Nations-Unies sur le droit de la mer du 10
décembre 1982, inspirées par Convention de
Genève sur la haute de 1958, règlementent cette
infraction aussi bien dans le domaine de
l’incrimination que dans celui de la répression.
Mots-clés : Piraterie maritime, répression,
haute mer, droit international.


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