Formal Education and Inclusive Growth in Africa

NKONGHO-NYOH EGBE-NJIE

Résumé


Abstract
This paper examines the influence of dimensions of formal education on inclusive growth using a panel of 40 African countries between 1998 and 2022. Access to formal education is measured by combining primary and secondary school enrolment rates, the level of formal education is measured using primary and post-primary completion rates, and investment in formal education is government expenditure on education. We proxy inclusive growth by GDP per person employed. We employ the feasible GLS, the Driscoll and Kraay standard errors with pooled OLS, and the two-step system GMM to account for autocorrelation, heteroscedasticity, cross-sectional dependence and endogeneity. We find that all dimensions of formal education used are positively associated with inclusive growth, but only the level of education is found to be statistically significant across all the models- suggesting that the acquisition of knowledge through the successful completion of levels of education has the potential to raise quality of the workforce, enabling participation and sharing in the fruits of economic growth. These results remain consistent when we control for sub-regional heterogeneity and income differences among countries in our panel. Thus, focusing on lifelong learning, reskilling and upskilling allows individuals to reach their full potential and unlock access to new opportunities, which eventually lead to inclusive growth.
Keywords: Formal education, inclusive growth, econometric models, Africa.

 

Résumé
Cet article examine l’influence des dimensions de l’éducation formelle sur la croissance inclusive en utilisant un panel de 40 pays Africains entre 1998 et 2022. L’accès à l’éducation formelle est mesuré en combinant les taux de scolarisation primaire et secondaire, le niveau d’éducation formelle est mesuré par les taux d’achèvement primaire et post-primaire, et l’investissement dans l’éducation formelle correspond aux dépenses publiques en éducation. Nous considérons le PIB par personne employée comme mesure de la croissance inclusive. Nous utilisons les MCG réalisables, les erreurs standards de Driscoll-Kraay et les MMG à deux étapes, pour tenir compte de l’autocorrélation, l’hétéroscédasticité, la dépendance transversale et l’endogénéités. Nos résultats révèlent que toutes les dimensions de l’éducation formelles utilisées sont positivement associées à la croissance inclusive, mais seul le niveau d’éducation s’est avéré statistiquement significatif dans tous les modèles- suggérant que l’acquisition des connaissances par l’achèvement des différents niveaux d’éducation a le potentiel d’améliorer la qualité de la main d’oeuvre, permettant ainsi la participation et le partage des fruits de la croissance économique. Ces résultats restent cohérents lorsque nous contrôlons l’hétérogénéité sous régionale et les différences de revenue entre les pays de notre panel. Ainsi, le reskilling et l’upskilling pourraient permettre aux individus d’atteindre leur plein potentiel, et accéder à de nouvelles opportunités, ce qui conduit finalement à une croissance inclusive.
Mots clés: Education formelle, croissance inclusive, modèles économétriques, Afrique.


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